
Vendredi 7 mai. L’après-midi touche à sa fin quand nous garons notre voiture de location devant le petit salon de beauté où j’ai rendez-vous. Il fait déjà nuit noire, la pluie ne nous a pas quittés depuis plus d’une heure, et elle s’acharne. Les gouttes font la course avec les essuie-glaces, le bord de la route s’est transformé en rivière, je calcule combien de secondes j’ai pour arriver à la porte du salon. Le mariage est prévu pour demain.